Capitaine, c'est plus ce que c'était...

[LOU01]

Il y a eu ce dramatique naufrage d'un navire de croisière tellement près des côtes qu'on pouvait voir les gens à table chez eux et dans le même genre, mais moins grave puisqu'il n'y a pas de victime, ce Capitaine, qui devrait consulter un spécialiste pour les yeux, qui n'a pas vu le pont...

Pas pu m'en empêcher, j'ai trouvé l'image assez cocasse... ...

[mog974]

Il existe une video sur You Tube montrant un navire dans les Grands Lacs près de Chicago qui défonce un pont qui s'est ouvert trop tard, le navire n'ayant plus le temps de stopper. Ce sont des choses qui arrivent!!! J'ai connu un navire qui est rentré dans la porte d'un sas du canal de Kiel suite à une erreur de marche, le mécanicien de quanrt a embrayé le moteur en marche avant au lieu de celui en marche arrière, nul n'est parfait!
Pierre

[h trois]

une spécialité du Kentucky:

[LOU01]

... par personne, s'il vous plait. L'équipage se composait du père et de ses deux fils, une marée, 45 litres...

Ils n'étaient pas très loin de consommer plus que l'embarcation... ...
Mais on parle d'une époque où le carburant n'était pas aussi cher qu'aujourd'hui et que le métier de marin-pêcheur était encore rentable, de nos jours une telle consommation ménerait rapidement l'équipage à la ruine... ...

[LOU01]

... l'équipage à la ruine... ...

Pardon pardon, aujourd'hui on ne dit plus "à la ruine", mais au "surendettement"...
Mais vous aviez déjà corrigé, j'en suis sûr...

[hbr5]

H3, tu veux dire que la bibine a encore une lourde influence sur la marine. Je me souviens lors de mon passage dans un port de pêche breton, j'avais le ruban bleu de la consommation. Un des équipages à la pêche côtière sortait pour une marée, soit une douzaine d'heure. Vous souvenez-vous des cageots en bois dans lesquels on transportait les boutanches, on appelait cela des 15 trous, pour 15 boutanches de gros qui tache d'1 litre. Donc une marée, un quinze trous .... par personne, s'il vous plait. L'équipage se composait du père et de ses deux fils, une marée, 45 litres. Et je vous jure qu'il n'y avait pas de gâchis. Etonnant, non ?.

Cela me rappelle ... fin des années 60 , port de peche de la Manche où je trainais mon ennui car mes parents avaient eu la riche idée d'acheter un appartement pour résidence secondaire ....., à l'époque , quand on était jeune et qu'on voulait se faire quelques sous on allait au port et on embarquait pour une marée sur un bateau de pêche , le tarif était le suivant 100frs plus une bouteille a étoile (consignée) de calva fermier sans etiquette qui titraient un degré que seul les vrais durs pouvaient avaler ... les vrais pécheurs attaquaient la bouteille dés qu'on était en mer et je n'ai jamais vu autre chose que des bouteilles vides au retour au port !!! par contre perso le calva ce n'était vraiment pas mon truc donc je prenais la bouteille et la donnais aux marins pour qu'ils se la partage... cette bouteille là n'a jamais non plus revu le port .
En conséquence , je m'étais donc fait la ""bonne réputation"" de "bon gars" de sorte que je trouvais toujours a m'embarquer pour n'importe quelle marée !

Je n'ai jamais vu des descentes de calva de cette envergure !!

Dans le même genre je me souviens également d'une équipe de deux terrassiers à la pelle et a la pioche qui , eux aussi , tutoyaient leur 10/15 litres jours !

Quand je raconte cela aujourd'hui certains pensent que j'en rajoute ....je suis trés heureux d'avoir lu ton histoire des 15 trous/ personne qui est dans la même veine que celles que j'ai vécues !!

[4HP]

Et on ne parle pas de nos militaires de carrière dont j'ai vu certains boire de la mirabelle au goulot le matin au lever pendant les manoeuvres (bon c'est vrai il faisait froid).

En moins alcoolisé, les anciens me racontaient, alors que j'était jeune embauché, que dans l'usine de carrelages où je travaillait, dans les années 50, il y avait une noria continue de caisses de 5 étoiles pour alimenter l'usine. Il y avait aussi, parait-il, quelques demoiselles qui embauchaient le matin alors qu'elle n'étaient pas dans les effectifs

Bon, ça dérive, je sors.

4HP

[h trois]

Voilà d'où vient le déclin de la France, les jeunes ne boivent plus!

[BJHUIT]

Je viens de retrouver le cliché d’une bande de délinquants en train de préparer un mauvais coup.
On pourra reconnaître le chef à son chapeau.